Une fresque et des sculptures amers
        
    Gwalenner (ou les Arpenteurs en français) raconte un invariant passé et futur des métiers de la DDTM, à travers la notion d’arpentage du territoire et de la cartographie.

Les activités des trois services administratifs partagent une relation forte à la mer et à la terre. Elles ont également en commun le travail de femmes et d’hommes engagés dans la gestion et l’aménagement du territoire morbihannais. Comment dès lors incarner cette relation qui intègre nécessairement une médiation technique ? Comment proposer une œuvre qui place l’environnement naturel et maritime au cœur des espaces ? Comment traduire l’implication humaine des agents de la DDTM ?

La fresque

La fresque reproduit une projection cartographique du Morbihan installée tel un vitrail sur toute la hauteur et la largeur des vitrages donnant sur le patio, compris entre le rez-de- chaussée haut et le premier étage (6 x 20 m). Le dessin original a été réalisé à la main à l’aquarelle (échelle 1/8e). Une multitude de touches de pinceaux, déclinant des teintes de verts et de bleus, reproduisent la terre et la mer. L’orientation de ces touches a pour origine le patio.













Les amers

Un amer est un point remarquable visible de la mer qu’il soit naturel (sommet, roche, cap, îlot, etc.) ou artificiel (clocher, phare, tour, etc.). Du territoire du Morbihan, six points remarquables ont été retenus pour leurs formes et leurs situations géographiques. Ils sont interprétés en grès à partir d’une technique originale, l’accumulation de « pincées » :

La Maison du pêcheur
Les Aiguilles de Port-Coton
Le Faucheur
Le Cairn de Gavrinis
Le Phare des Grands Cardinaux
La Tour des Anglais








Projet réalisé avec la collaboration de Marianne Homiridis / Bureau des projets et la participation technique de Glace Contrôle pour le film Lumière & Transparence© et Camille Grosperrin pour le modelage.
1% artistique pour le bâtiment de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer du Morbihan à Vannes.
Crédits photo : Philippe Piron

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